S’occuper du don d’organes maintenant : la nouvelle campagne de l’OFSP encourage à agir

En lançant la campagne « Plutôt maintenant que demain : réglez le don d’organes. », l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), la fondation Swisstransplant et le Comité National du Don d’Organes (CNDO) veulent encourager les personnes vivant en Suisse à régler de manière contraignante leur décision personnelle concernant le don d’organes. En effet, il ne suffit pas d’y penser. Il importe que chaque individu exprime sa volonté dans une carte de donneur, des directives anticipées ou son dossier électronique du patient (DEP). La campagne incite aussi les gens à communiquer leur décision à leurs proches afin de les décharger de cette question. Il est essentiel que les proches connaissent la volonté de la personne concernée.

La campagne se fonde sur l’art. 61 de la loi sur la transplantation. Sa mise en œuvre se déroulera jusqu’en 2025.

Une nouvelle campagne consacrée à l’introduction du consentement présumé et du registre des déclarations relatives au don d’organes et de tissus est prévue, vraisemblablement à partir de 2026. Une analyse de situation et de faisabilité en déterminera les contenus précis.

 

Matériel d’information gratuit à commander ou à télécharger.

En collaboration avec des partenaires, l’OFSP a conçu du matériel d’information disponible gratuitement dans plusieurs langues. De nombreux supports d’information peuvent être commandés ou téléchargés via la boutique en ligne.

Spot publicitaire « S’occuper du don d’organes ! »

Le nouveau spot publicitaire « S’occuper du don d’organes ! » rappelle de manière sympathique qu’il importe de régler et de consigner dès maintenant sa volonté concernant le don d’organes.

Spot publicitaire « Dites-le à votre façon, mais dites-le. »

Vous donnerez vos organes ? Parlez du don d’organes avec vos proches. Merci, car autrement ils devront décider pour vous.

Spot publicitaire « Le don d’organes : parlez-en. Pour le bien de vos proches. »

Quand une soirée romantique dans un chalet vire au cauchemar, les questions existentielles surgissent.

Contribution à la stratégie